« Enfanter, une évolution des pratiques à l’hôpital de Grenoble »
jeudi 16 janvier 2025
Créé en 1992, le musée a pour objet de conserver et de valoriser le patrimoine médical et hospitalier en partenariat avec le CHU de Grenoble. Il est situé au cœur d’un bâtiment chargé d’histoire : l’ancienne chapelle de l’asile des vieillards. Les expositions temporaires construites autour de ses collections nous permettent de voir la richesse et la grande diversité culturelle de cette institution.
L’exposition actuelle, «Enfanter, une évolution des pratiques à l’hôpital de Grenoble » retrace à travers documents et objets, la prise en charge hospitalière de la femme enceinte et de l’enfant à naitre, ceci depuis les années 1700 lorsque l’administration hospitalière fait aménager une salle d’accouchement qui préfigure la maternité hospitalière et jusqu’à nos jours.
15h00 Visite guidée de l’exposition. Rendez-vous au musée ¼ d’heure avant (Tram B, arrêt Hôpital Michallon-Grésivaudan, prendre allée des Alpes puis rue du musée).
L’inscription est gratuite sur Xoyondo. 20 places sont disponibles, mais n’hésitez pas à vous inscrire si ce nombre est dépassé : il est possible d’envisager une seconde visite si nécessaire.
Pour tout renseignement, s’adresser à Marie-Pierre Desvignes mp.desvignes@gmail.com 06 59 20 81 25
Bulletin d’inscription à retourner avant le 23 décembre2024 Premier acompte de 537€ par personne avant le 13 janvier 2025 Solde à 45 jours du départ soit avant le 22 mars 2025 (montant à confirmer selon le nombre de participants)
Par CHÈQUE, à libeller à l’ordre de JAIPOUR ORGANISATION (à joindre au bulletin d’inscription signé et daté)
Par CARTE BANCAIRE à distance par envoi de lien mail sécurisé. ( Votre conseiller VOYAGES Matthieu DECHAMPS vous enverra un lien de paiement sécurisé )
Par VIREMENT BANCAIRE ( RIB ci-dessous ) joignable au 06 26 77 29 21
MR38 vous propose une visite guidée de l’exposition Philippe de CHAMPAIGNE au musée de Grenoble
Le jeudi 19 décembre 2024 à 15h30
La Grâce et le Silence
Philippe de Champaigne (1602-1674), peintre peu connu, incarne néanmoins avec Nicolas Poussin et Georges de la Tour, le génie de l’école de peinture du XVII° siècle.
Portraitiste au sein de la cour de Marie de Médicis, peintre officiel de Louis XIII, on lui doit également de nombreux portraits de Richelieu.
Influencé par Rubens au début de sa carrière (comme lui d’origine flamande) son style devient par la suite de plus en plus austère. Peintre classique, essentiellement religieux, ses œuvres sont remarquables par l’éclat des coloris, dont un bleu presque surnaturel, la rigueur de ses compositions et la splendeur de ses visages d’une grande finesse psychologique.
Nombre des œuvres exposées proviennent des collections propres du musée de Grenoble et nous sommes invités à les contempler pour le 350° anniversaire de sa mort.
Visite guidée à 15h30 au musée de Grenoble. Etre sur place ¼ d’heure avant.
Inscription sur Helloasso : 10 €. 20 places sont disponibles.
Très jolie balade au milieu des vignes de Chignin, sur les piémonts des Bauges. Belle escapade au milieu des tours moyenâgeuses et des caves viticoles, avec des vues magnifiques sur la vallée de Chambéry et la chaîne de Belledonne. C’est encore plus beau en automne juste après les vendanges.
On vous propose 2 options : * la grande boucle originale qui fait 7,3 km pour 230 m de dénivelé en passant par le Mont Ronjoux * un circuit raccourci qui ne fait plus que 5,5 km pour 150 m de dénivelé.
Le départ se fait sur le petit parc de stationnement de l’église de Chignin.
On descend par le chemin des Bugnons en direction de Montvéran. Une fois arrivé au hameau, on prend à droite la Route du Chef-Lieu, puis la Route des Côtes, puis à droite le chemin sinueux de la Chapelle, jusqu’à atteindre le magnifique Clos Saint-Anthelme. Après celui-ci, prendre à gauche la route montant entre les vignes en direction des Tours du site archéologique de Chignin. Une fois à la 1re tour, progresser au milieu des vignes. Continuer toujours tout droit entre les vignes. Lorsqu’on rejoint la route, prendre à droite en direction du hameau du Villard. Au centre du Villard, il y a de nombreuses caves viticoles, un petit café, ainsi que la croix, le lavoir et le four à pain du village. Prendre la route qui part à gauche en direction du Mont Ronjoux. Suivre la piste entre les vignes, avec une petite montée raide à la sortie du hameau. Continuer à monter entre les vignes jusqu’à atteindre le plateau et les bois sur la colline du Mont Ronjoux. S’engager dans les prés jusqu’à atteindre le sommet. (On peut aussi court-circuiter le sommet et rejoindre directement le hameau de Montlevin). Quelques mètres après le sommet, prendre le chemin qui part à droite. Continuer la descente jusqu’à atteindre de nouveau les vignes et marcher jusqu’au hameau de Montlevin. Le traverser, tout aussi joli que Le Villard, puis aller en direction du hameau du Viviers. Le Viviers possède également des caves viticoles et tous les attributs d’un village des piémonts de la Savoie. Le traverser et prendre la direction du clocher de l’église de Chignin. Traverser le joli cimetière pour rejoindre le point de départ.
Quelques images de la sortie
Le parcours réellement fait (4,5 km – 110 m)
Les Tours de Chignin
Sept ! C’est le nombre de tours qui s’élèvent à Chignin, sur le plateau surplombant la cluse de Chambéry et la route d’Italie. Très proches les unes des autres, carrées ou rondes, elles sont construites au 13e siècle lors du partage de la seigneurie de Chignin, chaque descendant édifiant sa propre tour ! Très rapidement les comtes de Savoie remarquent l’intérêt défensif du site et font ériger un rempart qui relie les tours entre elles. Le château fait alors partie du système défensif du comté puis du duché. Occupé par les Français en 1690 puis par les troupes sardes en 1792, il subit des dégâts et fait l’objet de rénovations qui lui enlèvent son rôle de forteresse. Les tours sont isolées les unes des autres. En 1877, la tour de la Biguerne est transformée par les frères Chartreux en chapelle en l’honneur de Saint Anthelme, prieur de la grande Chartreuse et évêque de Belley, né au château de Chignin au 12e siècle. Hormis la chapelle et la tour de « la Place », encore très visibles dans le paysage et restaurées, les autres tours sont à l’état de vestiges. Leurs positions donnent cependant une bonne idée de l’ampleur de cette ancienne place forte.
MR 38 vous propose de visiter le nouveau centre de tri ATHANOR à La Tronche
Le jeudi 14 novembre 2024 à 9h30
Que deviennent nos déchets ?
Ce centre de tri révolutionnaire remplace le site ancien qui ne répondait plus aux nouvelles normes et réglementations de la loi sur la transition énergétique.
Athanor nouvelle génération, inauguré en juillet 2024, vient d’être mis en service. Plus moderne et plus adapté aux enjeux actuels du traitement des déchets, le centre regroupe sept intercommunalités : la Métropole de Grenoble, la Matheysine, le pays Voironnais et le Grésivaudan, soit 740.000 personnes.
Un parcours pédagogique permet de suivre le cheminement des déchets, depuis l’arrivée des camions poubelles, tout au long de la chaine de tri. La phase de tri est en grande partie assurée par des robots qui peuvent trier jusqu’à 400 objets par seconde ; des agents sont également présents pour enlever ce qui a échappé à la vigilance des robots.
Depuis des passerelles entièrement sécurisées, il est possible d’observer d’en haut les machines en action.
Durée de la visite : 2 h
Prévoir des chaussures plates fermées
Se munir de sa carte d’identité
Nombre de participants limité (19 personnes) (déconseillé aux personnes présentant des difficultés respiratoires)
Consignes de sécurité :
Interdiction de fumer sur le site
Suivre les consignes données par le guide (rester groupé, ne toucher à rien, ne pas quitter la visite avant la fin)
Port du gilet haute visibilité obligatoire
Rendez-vous à 9h20 sur le parking du site, Chemin de la Carronnerie à La Tronche.
Après la visite un repas est prévu pour ceux qui le veulent au restaurant « le Provence » à Corenc (à 12h15).
Mesdames, Messieurs, L’Association Grenobloise pour le Rayonnement Universitaire du Site Santé (AGRUS) a le plaisir de vous inviter à une soirée amicale et musicale pour fêter ses 10 ans ! Cette soirée se tiendra le mardi 3 décembre, à partir de 19h, à l’Auberge Saint Michel (Saint Martin d’Uriage) Vous trouverez ici le carton d’invitationavec les modalités de participation (seconde page). Nous vous remercions de bien vouloir vous inscrire, si vous le souhaitez, et nous faire parvenir votre paiement par chèque avant le 15 novembre. (dans la limite des 80 places disponibles).
Mail de confirmation d’inscription : contact-agrus@univ-grenoble-alpes.fr Adresse postale pour l’envoi de votre chèque de participation (45€/pers) : Association AGRUS Facultés de médecine et de pharmacie Domaine de la Merci 38700 La Tronche.
En espérant avoir le plaisir de vous compter parmi nous pour cette belle soirée Le Bureau de l’AGRUS,
MR38 vous propose une journée à Lyon pour la visite des sites gallo-romains, du Vieux Lyon et des traboules.
La visite commence sur la colline de Fourvière où se trouvent le musée Gallo-romain et les théâtres sur les lieux de fondation de la ville romaine en 43 avant JC.
Presque invisible de l’extérieur, le Musée se fond dans le paysage du site archéologique unique composé de deux monuments majeurs : un Théâtre et un Odéon tous deux classés au patrimoine mondial de l’Unesco.
Le musée possède une des plus riches collections archéologiques de France et aborde tous les aspects de la vie publique et privée de l’empire romain. Il recèle de véritables trésors sur l’origine de la métropole lyonnaise.
Le Grand Théâtre et l’Odéon (fin du 1° siècle), transformés en carrières à la fin de l’Antiquité, avaient pratiquement disparus. Ils ont été remis au jour et partiellement reconstruits dans la première moitié du XX° siècle.
LUGDUNUM
L’après-midi est consacrée à la visite du Vieux Lyon et des traboules. Ce quartier médiéval et renaissance (le 2° plus grand quartier Renaissance d’Europe après Venise), avec ses petites ruelles pavées, ses maisons aux façades colorées, ses cours avec galeries et escaliers à vis et ses traboules est le fleuron patrimonial de la ville de Lyon.
Nous découvrirons son histoire et ses richesses architecturales, mais également les dangers de destruction et les évènements qui ont amenés à sa protection.
PROGRAMME
7h45 Départ en car. Rendez-vous sur le parking de la MC2 : arriver au moins 15 minutes à l’avance (7h30). Arrêt programmé à Saint Egrève, parking relais San Marino, Pont-barrage St Egrève.
10h30 Visite guidée du Musée Gallo-romain et des Théâtres (2h00) Descente de la colline en car pour rejoindre le restaurant.
12h45 Déjeuner au bouchon lyonnais chez Chabert quai Romain Roland pour un déjeuner typiquement lyonnais.
14h30 Visite guidée du Vieux Lyon et des traboules (à pied, à partir du restaurant) durée 2h00 (prévoir des chaussures confortables pour marcher sur les pavés.)
Autour du l’étang de La Bâtie (Bois Français) : 4,5 km, 0 m de dénivelé.
Rendez-vous à 14h30 sur le parking (Bois de la Bâtie) situé juste avant le pont sur l’Isère de la route de Lancey (D 165) en venant de l’A 41 (sortie 24.1 Villard-Bonnot St Ismier). Inscription sur xoyondo.
La CPTS du bassin Roussillonnais recherche des MEDECINS RETRAITES sur ISERE DROME ARDECHE
Lettre de Mme Sandra DESVIGNES, coordinatrice de projet de la CPTS du bassin Roussillonnais, aux médecins généralistes et spécialistes
Bonjour, En tant que coordinatrice de projet de la communauté professionnelle territoriale de santé (CPTS) du bassin Roussillonnais (31 communes), zone médicale en souffrance et presque désertifiée dans certaines communes, je réponds à un appel à projet de MEDICOBUS proposé par l’ARS et le département. Dans ce secteur, deux médecins généralistes partent en retraite à la fin de l’année ; d’autres suivent en 2025. Les spécialistes sont de moins en moins présents.
Je sollicite donc les médecins généralistes et spécialistes retraités qui souhaitent mettre un peu de leur temps à la disposition des patients de notre territoire, ne serait-ce qu’une demi-journée de temps en temps.
Cette mesure vise à mettre en place, pour une durée de 3 ans, une offre de médecine générale et/ou de spécialité, itinérante dans les zones rurales en réponse aux difficultés d’accès aux soins des personnes isolées, sans médecin traitant; et ce pour permettre un accès aux soins, y compris dans les territoires les plus enclavés, dans une démarche « d’aller-vers ». Elle s’appuie largement sur les enseignements des Conseils Nationaux de la Refondation (CNR) territoriaux et fait écho aux initiatives locales déjà en place, pour les amplifier.
Les missions d’un médicobus sont principalement : · Organiser une offre de médecine générale et/ou de spécialité « itinérante » · Apporter une réponse de médecine générale en terme de soins (en priorité) dans un délai raisonnable aux populations sans médecin traitant (MT). · La priorité est donnée aux personnes en affection de longue durée (ALD) sans médecin traitant, les personnes âgées isolées … · L’accès du patient au service du médicobus se fait en articulation et complémentarité, sans se substituer, avec toutes les offres du territoire déjà existantes : téléconsultation, vacations mises en place sur le territoire, recours à un autre professionnel de santé, protocoles de coopération…
Les missions secondaires : · Le projet peut intégrer aussi des consultations spécialisées autres que celles de médecine générale (activité partagée ou jours dédiés) en associant gynécologues, cardiologues, ophtalmologistes… · Le projet peut porter quelques actions de prévention mais ce n’est pas le but premier. Ainsi le projet apportera une réponse en termes de soins et non de prévention en première intention.
Les objectifs opérationnels : · S’inscrire dans une réflexion collective pour ancrer localement une offre de soins. Une concertation avec les professionnels de santé du territoire et des organisations d’exercice coordonné est nécessaire dans le cadre de ces réflexions. · Proposer une organisation complémentaire à l’offre de soins existante pour « réinsérer les patients dans un parcours de prise en charge et réaliser une consultation médicale de premier recours ». · Il est une solution aux besoins de soins de premier recours, lorsqu’aucune autre modalité n’est possible (téléconsultation conforme aux règles en vigueur, déplacement du patient …).
Si vous souhaitez de plus amples informations ou avez des questionnements, n’hésitez pas à me contacter par mail : sdesvignes.cptsbr@gmail.com ou par téléphone : 06.29.54.99.64. Je suis à votre disposition.
Bien cordialement, Sandra Desvignes Coordinatrice de projet de la CPTS du bassin Roussillonnais.
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On recherche donc des médecins retraités du territoire qui veulent bien donner 1/2 ou 1 journée par semaine ou tous les 15 jours ou autres propositions. Par contre, il est nécessaire d’avoir cessé d’exercer depuis moins de trois ans.
MR38 vous invite à visiter Saint Antoine l’Abbaye. C’est un village médiéval dont l’histoire commence au XI° siècle lorsque les reliques de Saint Antoinele Grandfurent rapportées de Constantinople et déposées dans ce qui seront les fondations de la future église. Après une vie d’ermite dans le désert égyptien, Saint Antoine, aux reliques duquel on attribuait des guérisons mystérieuses notamment contre le fameux « mal des ardents » (ou ergotisme dont les épidémies sévissaient au Moyen Age), fut vénéré. On considérait qu’il avait aussi le pouvoir de guérir « les Ames et les corps » ; cela donna lieu à de nombreux pèlerinages sous le contrôle des moines médecins Antonins. L’Eglise Abbatiale bâtie du XII° au XVII° siècle sur les fondations de l’église initiale, est un joyau gothique qui surplombe le village et se voit de loin au milieu des paysages vallonnés des Chambarans. Le muséeretrace l’histoire riche et mouvementée de l’Abbaye. Il contient également un parcours dédié à l’histoire des parfums de l’Antiquité à nos jours. Le jardin médiéval qui l’accompagne naturellement nous rappelle que l’Abbaye de Saint Antoine fut dès le Moyen Age un vaste jardin et nous invite à rentrer dans l’histoire des fragrances qui entre Orient et Occident ont accompagné la destiné des hommes. Le village lui-même, est un fantastique voyage à l’époque du Moyen Age avec ses ruelles tortueuses et pavées, sa halle, ses maisons médiévales aux toits colorés. Il est classé parmi les plus beaux villages de France.
PROGRAMME
10h00 Visite guidée de l’Abbaye, du musée, des jardins et du village. (Durée 2h) Parking en bas du village, rendez-vous devant l’office du tourisme.
12h30 Déjeuner au restaurant La Tivollière, Château du Mollard (XV° et XVII° s) 50, rue Georges Dorly à Saint Marcellin. (20 minutes en voiture)
Inscription sur helloasso, le prix de la journée est de : 40 € (visite seule 5 €)
Pour tout renseignement, veuillez vous adresser à Marie-Pierre Desvignes : 06 59 20 81 25 ou mp.desvignes@gmail.com
Covoiturage toujours possible, n’hésitez pas à demander.
Pour cette sortie, on vous propose une traversée de Corrençon (départ aux Hauts Plateaux) à Bois Barbu en passant par la Glacière et avec arrêt déjeuner à l’Auberge de Malaterre. Le parcours fait 6 km en tout, dont la moitié en montée douce de 140 m jusqu’à l’auberge.
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Le rendez-vous est fixé à 10 heures à Bois Barbu où on laissera le maximum de voitures, le reste transportant tout le monde jusqu’au départ à Corrençon. A la fin de la randonnée une voiture devra ramener les chauffeurs à Corrençon récupérer leur voiture.
Pour le rendez-vous, à Villard-de-Lans, prendre la direction de Bois Barbu par la D215C. Arrivé au foyer de ski de fond de Bois Barbu, continuer sur la D215C (route d’Herbouilly) direction St Martin-en-Vercors, Valchevrière, pendant 900 m jusqu’à l’embranchement de la Route Forestière GALMICHE. Laisser les voitures sur le parking sous le grand sapin.
Au départ de Saint-Romans, on monte vers les ruines du Château Delphinal de Beauvoir-en-Royans qui fut construit par Humbert II, dernier Dauphin en titre. Il fut la résidence principale des Dauphins de 1258 à 1350. Par le traité de Romans du 30 mars 1349, Humbert II cède le Dauphiné et l’ensemble de ses domaines (dont le château de Beauvoir) à la couronne de France. Le château fut laissé à l’abandon après la cession. Au passage on pourra faire la visite de l’exposition Tineke Bot au Couvent des Carmes. Retour à Saint-Romans via le vallon de la Chaussère et la Girardière, avec un arrêt déjeuner pique-nique dans les noyeraies.
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Voir le diaporama de la sortie à Beauvoir-en-Royans et Saint Romans en cliquant sur l’image de gauche