Visite de la Casamaures

Jeudi 19 mai 2022

10h00  Visite de la Casamaures – durée 2 heures

 Ce petit bijou orientaliste du XIX° siècle aux portes de Grenoble, classé monument historique en 1986 est un chef d’œuvre des artisans mouleurs Grenoblois qui utilisèrent les premiers le ciment prompt (l’or gris du grand Grenoble) et dont la coloration bleu-outre-mer artificiel (dit bleu Guimet) des façades est caractéristique.
Palais exotique de style néo mauresque qui surplombe l’Isère, entièrement rénové par sa propriétaire actuelle, il s’élève sur quatre niveaux : les jardins et l’orangerie, la terrasse du temps solaire, la terrasse haute et son jardin d’hiver avec salon, salle à manger et vestibule, enfin les chambres au quatrième niveau, le tout réhabilité dans le gout éclectique de l’époque.
Les jardins d’ornement actuels associent nature et sculptures contemporaines, ils hébergent des plantes voyageuses des cinq continents aux floraisons bleu et jaune, agrémentés de cinq cadrans solaires peints.

ATTENTION il faut obligatoirement arriver par le bas de la propriété, le long de la ligne du tram.
– Pour accéder avec le tram E : arrêt Casamaures village, puis marcher le long du tram sur environ 100m, allée de la Casamaures.
– Pour accéder en voiture : se garer sur le parking relais de l’Esplanade, puis trajet à pied idem (la voiture sera nécessaire après pour aller au restaurant, mais possibilité de covoiturage).
Voir plan d’accès ci-dessous.

12h30 /12h45  Restaurant  à Saint Egrève

Menu suivant l’humeur du chef et selon le marché du jour 

Prix de la journée : 39€ .
En cas de besoin, s’adresser à Marie Pierre Desvignes  mp.desvignes@gmail.com  06 59 20 81 25.
Inscription sur HelloAsso avant le 16 mai.

Jardin Dominique Villars

Afin de célébrer les nouveaux aménagements du Jardin Dominique Villars et les expositions nouvellement installées, les Facultés de médecine et de pharmacie organisent le jeudi 05 mai 2022 une journée portes ouvertes grand public pour découvrir un domaine historique au service de la biodiversité.
Vous trouverez en PJ le programme détaillé des ateliers et animations avec leur localisation (plan du site en dernière page). L’entrée libre et gratuite. Seule la visite du jardin le matin nécessite une réservation préalable.
Prestations des artistes de haut niveau de l’UGA, lectures publiques, découverte de la vie d’un rucher, histoire du campus santé, initiation au Tai Chi, atelier origami ou encore dégustation de thés japonais, … il y en aura pour tous les goûts !
La programmation horaire des différentes prestations ainsi que le circuit de déambulation sont également en ligne sur le site internet de l’UGA.
L’évènement se déroule en extérieur, il y a donc risque d’annulation en cas de mauvaises conditions météorologiques.

Le marais de Montfort à Crolles

Sortie pédestre MR38 jeudi 14 avril 2022 à 14h30

Rendez-vous au bout de la rue Colette à Monfort – carrefour chemin des Meylons.
Au rond-point qui se trouve à l’entrée du village de Monfort, prendre la première rue à droite (rue Colette) direction « Etang ». Aller jusqu’au bout du goudron à l’embranchement du chemin des Meylons. (c’est plein d’ail des ours !)

HydroCovid

Ils l’ont fait ! 700 patients inclus !! Fantastique

Merci à :
AGIR A DOM pour leur parrainage
Drink HRW pour le soutien financier et l’organisation logistique des médicaments
Enquêteurs pour leur temps et leur travail
Assistants de Recherche Clinique, Chefs de Projets, Moniteurs, pharmaciens, statisticiens pour l’investissement et l’efficacité
Laboratoires d’analyses médicales pour l’aide au dépistage
Infirmières et personnel pour la livraison de médicaments
Donateurs pour leur soutien à notre étude
Toutes les personnes qui croient en nous
Bien sûr les patients pour leur participation !
Prochaine étape : récupérer le livret à J30 pour analyse au plus vite

Projet Hydrocovid : l’appel aux dons des chercheurs grenoblois

Les chercheurs grenoblois, qui travaillent depuis février sur l’essai clinique d’un traitement à l’hydrogène des formes sans gravité de la Covid, sont contraints d’en appeler aux bonnes volontés pour financer la dernière partie de cette étude.

Un appel aux dons pour permettre à un essai clinique de traitement contre le Sars-CoV-2 d’aller jusqu’à son terme : c’est ce à quoi l’équipe du laboratoire TIMC de La Tronche a dû se résoudre ces derniers jours, faute de financement. Lancée en février dernier et visant l’inclusion de 580 patients atteints de formes sans gravité de la maladie, l’étude Hydrocovid cherche à valider l’hypothèse, relayée par de nombreux arguments précliniques et théoriques, selon laquelle l’hydrogène moléculaire pourrait avoir, par ses propriétés antioxydantes, un effet bénéfique pour éviter l’emballement des réactions inflammatoires à l’origine de formes graves de la maladie.

Près de dix mois plus tard, le traitement commence à faire ses preuves. « Nos premiers résultats montrent une différence de 25 % en termes de complications entre un groupe de patients placebos, qui n’a donc pas reçu de l’Hydrocovid, et un groupe de patients qui en a reçu. Nous travaillons en aveugle, donc nous ne pouvons pas affirmer que l’hydrogène est efficace par rapport au placebo, mais la différence observée est bien compatible avec nos hypothèses », témoigne le professeur Philippe Cinquin.

Quelque 300 personnes se sont portées volontaires pour tester ce traitement, encore en phase d’expérimentation. Mais, il en faudrait davantage, explique-t-il ce mardi 23 novembre : « Nous voudrions inclure encore 280 patients afin d’avoir la puissance statistique nécessaire pour conclure. »
Pour ce faire, la petite équipe veut exporter le comprimé générateur d’hydrogène à l’international. Après la Serbie, les chercheurs visent désormais la Tunisie : « Ce sont des pays où il pourrait y avoir une demande, où il pourrait être plus difficile qu’en France d’avoir accès à des traitements onéreux. Or, si le traitement est efficace, il coûterait moins de deux euros par jour », précise Philippe Cinquin.
Pour réussir cette internationalisation, un appel au don a été lancé via la Fondation de l’Université Grenoble-Alpes. « Nous avons besoin de financement pour continuer les recherches », ajoute le professeur : « Nous reposons notre travail sur de l’auto-financement. Les pouvoirs publics ont communiqué sur notre projet mais n’ont pas apporté un soutien financier. Depuis le début, il n’y a pas eu d’appel à projet pour des recherches thérapeutiques de cet ordre en France. »

L’équipe iséroise en appelle donc à la générosité du public pour finaliser l’étude de l' »Hydrocovid« , ce comprimé effervescent qui pourrait prévenir le risque de complications immédiates.
Vous pouvez trouver plus d’informations sur le site de l’étude.

Belvédère et Aiguille de Chalais

Sortie pédestre du 24 mars 2022

L’abbaye Notre-Dame de Chalais est un monastère niché sur les flancs de la Chartreuse et ceint d’une vaste prairie vallonnée. La randonnée vers l’Aiguille de Chalais offre un magnifique belvédère sur le massif du Vercors, la cluse de Voreppe et sur la plaine du Nord Isère.
Pour aller au Belvédère, on emprunte l’allée bordée d’arbres centenaires. Au carrefour on prend à gauche pour atteindre le rocher de Bellevue et sa table d’orientation d’où l’on peut admirer le superbe panorama sur la vallée de l’Isère et le Vercors. En revenant légèrement sur ses pas on récupère le sentier qui longe la falaise. Au niveau de la bifurcation on prend à gauche pour atteindre l’aiguille de Chalais (1089 m). On redescend ensuite pour retrouver l’itinéraire de l’aller.
Ceux qui ne veulent pas monter jusqu’à l’Aiguille (140 m de dénivelé), peuvent rentrer par le même chemin qu’à l’aller.
Au monastère, les sœurs fabriquent et commercialisent les biscuits de Chalais depuis plus de 40 ans.

Arcabas et la Basilique du Sacré-Cœur

Jeudi 31 mars visite autour d’ARCABAS et la création de vitraux

10h00   Visite guidée de la Basilique du Sacré Cœur 

Visite culturelle, artistique et patrimoniale de la Basilique, avec diaporama présentant l’histoire de la construction de la Basilique en 1922, dans un style arabo-byzantin et sa rénovation de 2013 à 2016.
Projection également d’un film sur le travail des vitraux dessinés par Arcabas et réalisés par l’atelier Berthier. En 2016, les 6 premiers vitraux d’une série de 24 conçus par l’artiste et ayant pour thème   la création du monde, sont inaugurés, les derniers sont mis en place en 2018 dans le cœur de l’Eglise.

 
Cette œuvre monumentale illumine la nef de multiples couleurs contribuant ainsi au projet de la Basilique.

Arcabas, grand maitre de l’Art Contemporain, nous a quitté en 2018

Déjeuner à la Salle à manger

Restaurant d’application de la fondation des Apprentis d’Auteuil qui se situe dans l’espace diocésain du Sacré Cœur, lieu d’accueil et d’écoute. 
Cette structure permet l’accueil de jeunes en découverte et en formation aux métiers de la restauration dans le but de favoriser leur insertion dans le monde du travail.

Salade du Champsaur
Rôti de veau « de grain » champignons, estragon, gratin dauphinois
Cœur fondant au chocolat, glace vanille

14h30   Visite de l’Atelier de fabrication de vitraux Berthier- Bessac

Héritier d’un savoir-faire ancestral des maitres verriers, spécialisé en création, restauration et protection de vitraux patrimoniaux, de nombreux projets de cet atelier ont été réalisés en collaboration avec Arcabas.
Le vitrail crée par Christophe Berthier l’amène à magnifier la lumière d’un lieu pour y faire naitre une ambiance unique.
Vous pouvez vous inscrire sur Helloasso, coût de la journée : 42€, avec toutes fois possibilité de dissocier les 3 activités.
Pour tout renseignement, vous pouvez vous adresser à Marie-Pierre Desvignes : 06 59 20 81 25
mp.desvignes@gmail.com

Passerelle himalayenne de l’Ebron

Projet pour une prochaine sortie pédestre de MR38 : circuit par la passerelle himalayenne de l’Ébron au Lac de Monteynard-Avignonet – date à déterminer

Départ prévu au Pont de Brion : 48 km depuis Grenoble par l’A51 jusqu’au Col du Fau et la D34.
Le circuit n’est pas très long (3,4 km) mais il y a quand même 260 m de dénivelé.

Concert Philippe Bruttmann

Le fils de notre confrère et membre de MR38, Georges BRUTTMANN, sera en concert le 7 avril 2022 au Musée de Grenoble.
Jean-Philippe Bruttmann est un guitariste de flamenco renommé : son flamenco est contemporain, virtuose mais profond et sincère, empreint d’Andalousie, de jazz et d’orientalité, celle du flamenco mais aussi de ses propres racines d’Europe de l’Est et d’Afrique du Nord. Sa « Folia flamenca », version de cette danse populaire portugaise médiévale devient une buleria, rythme gitan endiablé. Sont également convoqués la voix, la clarinette, le violon, la flûte dans des styles variés et évocateurs (solea, alegria, guajira, fandango, tango, rumba) pour finir avec « Tsadok » et « Pomaria » qui évoquent l’Afrique et ses Orients

Virtuose de la Guitare Flamenca et compositeur reconnu, Jean-Philippe Bruttmann est atypique. Autodidacte, enfant prodige né dans les Alpes et dédié dès l’âge de 7 ans au flamenco, il joue, écrit et construit une carrière toute faite de passions et d’exigences.
De grands maîtres, tels Ivry GITLIS qui le découvre réellement en le conviant à ses fameux « Festivals de Jeunes Interprètes » 1979 et 80 alors que le garçon n’a que 8 et 9 ans, Baden POWELL ou Alexandre LAGOYA ou encore Manitas de Plata, l’invitent à jouer sur scène.

Ce dernier le surnomme simplement « maestro » et sa famille (Baliardo) « adopte » musicalement Jean-Philippe qui n’a que huit ans, et lui transmettent l’âme du folklore gitan et la passion pour la scène.
Authentiquement habité par le Flamenco et définitivement tourné, depuis l’adolescence, vers sa source andalouse et son plus célèbre représentant, PACO DE LUCIA, Jean-Philippe compose, constitue dès 1992 un Quintet avec percussions, contrebasse, violon, flûte et sax, et sort un premier album « Arte Flamenco » en 1996, aux confins du jazz et du Flamenco, puis « Recuerdo », hommage à ses débuts gitans avec Hippolyte BALIARDO, frère de Manitas, en 1997. En 1998, avec « Flamencos », Jean-Philippe crée le premier spectacle flamenco théâtralisé (scénographie, texte) à Grenoble (3000 spectateurs), puis à Paris au Café de la Danse et pendant deux mois au théâtre Le Ranelagh. Puis il crée, compose et joue « La Vie imprévisible de Lola Montès » de Madona BOUGLIONE et Pierre LAPLACE au Théâtre Le Ranelagh (plus de 130 représentations). Nouvel envol en 2001 avec « La Venta Quemada », création flamenca contemporaine inspirée du « Manuscrit trouvé à Saragosse », mise en scène par Gil GALLIOT.
« La Venta » (2002), album riche et profond, a donné lieu à une série de concerts, notamment à l’Européen, un mois en 2003, 92 dates de juin à décembre 2004 au Théâtre Le Ranelagh, puis ce fut, en 2005, « Timeo » créé en résidence à Grenoble (Théâtre Municipal/ MC2-Scène Nationale) et « Sincero » avec une tournée jusqu’en Asie Centrale (Ouzbékistan, Turkménistan) et un succès au dernier Avignon Public Off.
Eclectique, il invite d’éminents musiciens jazz (Pierre BERTRAND, Nicolas FOLMER, David VENITUCCI), iraniens (soufi : Abbas BAKHTIARI), constantinois, de rock espagnol, de folk irlandais. Son dernier album « MACADAM PASEO » (CristalRecords) en est la parfait illustration.
Il collabore avec le PARIS JAZZ BIG BAND (Café de la Danse, Phoenix de Valenciennes et récemment à La Cigale autour de, Enrico MACIAS, Chimène BADI…) et a fondé « Ma guitare s’appelle Revient » avec Yvan Le BOLLOC’H.
Citoyen du monde, Jean-Philippe et le premier à assumer de n’être pas né en Andalousie et à revendiquer ce Flamenco d’ailleurs puisque d’ici, original et profondément sincère, aux influences jazz et aux effluves orientales.
Après 4 albums et plus de 1000 dates de concerts, il continue d’explorer les émotions que fait naître sa musique et propose aujourd’hui des concerts du solo au sextet (guitares, chants, percussions, clarinette/violon/flûte et danse).
Il est aussi musicologue et ethnomusicologue (doctorat), chercheur en musicologie à l’Institut de Recherche en Musicologie (IReMus, unité CNRS/ Université Paris-Sorbonne).
Il est également programmateur du Vercors Music Festival (Autrans, 38 – Réseau SPEDIDAM) sous le double axe de la guitare et des musiques actuelles (Selah Sue, Dionysos, Deluxe, Yael Naim, La Yegros, Al Di Meola…)

Assemblée Générale Annuelle 2022

Elle a eu lieu le jeudi 3 février 2022 à 10 heures à l’Hôtel Mercure Meylan

Vers le Château de Bon Repos

Sortie pédestre du jeudi 27 janvier 2022

Le château de Bon Repos semble tout droit sorti d’un livre qui raconterait l’Histoire du Moyen-Age à des enfants. Il se dresse sur son champ, au bout de son chemin, et nous fait rêver, avec ses quatre tours coiffées d’un chapeau pointu.
Son allure générale n’a presque pas changé, au fil de ses cinq siècles d’existence. Il surprend toujours le visiteur qui le découvre sur le Plateau de Haute-Jarrie.

L’église, dès le 12° siècle, s’appelait déjà Saint Etienne, en latin « Sancti Stephani de Jarria ». C’est à partir de la visite de Monseigneur Siboud Aleman, de la famille des seigneurs d’Uriage, en 1469 et 1470, que l’on commença à avoir quelques détails sur l’état de l’église.
En 1976 un incendie criminel détruit la sacristie et enfume l’église, noircissant tout l’intérieur, les peintures se trouvant déjà bien abîmées par des infiltrations d’eau provenant du toit en mauvais état. Il est décidé de restaurer ces peintures en utilisant les pochoirs d’origine toujours dans la famille Teyssier de Savy. Le travail est entrepris en 1980/81 par l’entreprise Facchin, de Grenoble. Certains motifs sur les grandes parties nues et les étoiles de la voûte n’ont pas été repris pour éviter un coût trop important. Une seule étoile a été conservée, c’est l’étoile filante qui comporte la date des peintures et où a été rajouté la date de la restauration.
La mairie entretient les bâtiments et a fait refaire les façades en 1968, en laissant les pierres apparentes. La toiture est l’objet de soins constants et il est peu d’années où la nécessité ne se fait sentir de remettre des tuiles en place et déboucher les chenaux obstrués par les feuilles d’arbres maintenant trop proches et trop grands. L’éclairage et les circuits électriques ont été refaits en 2007, alors que l’horloge et les cloches ont été électrifiées auparavant.

En savoir plus sur l’Église Saint Etienne : http://medieval.mrugala.net/Architecture/France,_Isere,_Haute-Jarrie,_Eglise_Saint-Etienne/

Histoire de savoir(s)

Visite le jeudi 10 février 2022 à 10 heures (visite guidée 1 heure, visite libre 1 heure)

MR38 vous a proposé une visite guidée dans le Musée de l’Ancien Evêché (2 rue Très Cloitres), pour voir l’exposition « Histoire de Savoir(s) » qui retrace l’histoire longue et passionnante de l’Université de Grenoble.
L’ancien palais épiscopal dans lequel est aménagé aujourd’hui le Musée de l’Ancien Evêché a été au cœur de cette histoire puisque certains cours ont eu lieu dans ses murs.
Le musée, en partenariat avec l’Université Grenoble Alpes (UGA) a organisé cette exposition qui retrace l’évolution de l’Université de Grenoble, de 1339, date de sa création, à nos jours ; c’est d’ailleurs une des plus anciennes universités de notre pays, qui maintenant figure dans le Top 100 du classement de Shanghaï.
A l’issue de cette visite guidée, il a été possible de déambuler dans le musée lui-même, consacré à l‘histoire et au patrimoine de l’Isère et il serait dommage de ne pas aller voir dans la crypte le Baptistère paléochrétien (V° siècle) qui a été découvert à l’occasion des travaux du tram B, sous la place Notre Dame ; il est le témoin de l’évolution des pratiques d’une société où le christianisme a finit par s’imposer comme religion unique

Nous sommes allés ensuite déjeuner au restaurant l’Epicurien, 1 place aux Herbes.

LE MENU 30 €/personne


Œuf parfait à la forestière, crumble de parmesan
Lasagne de légumes du moment, crème de parmesan
Saint-Honoré
Café

1 bouteille de vin pour 4 personnes